Adoration du Saint Sacrement

Comme tous les vendredis le Saint Sacrement est exposé à l’église de 7h00 à 11h30.
N’hésitez pas à venir adorer Jésus !

de 7h00 à 10h30 l’adoration est silencieuse.
de 10h30 à 11h30 une animation est proposée.

Traçons sur nous le signe de la croix

Venez, approchez-vous, Soyez bénis, soyez nourris
Venez, l’amour est partagé, aucun n’est digne, chacun est invité.

1. Venez, n’attendez pas, Il a préparé ce repas.
Osez, venez déposer vos nuits, vos croix, voyez, il nous ouvre la joie.

2. Venez, n’attendez pas, Il vient apaiser chaque soif.
Osez, venez déposer vos cœurs, vos choix, voyez, il nous donne la joie.

3. Venez, n’attendez pas, Il vient pour allumer la foi.
Osez, venez déposer vos peurs, vos voix, voyez, il devient notre joie.

Oui Seigneur nous nous approchons de toi,
la table de Dieu est dressée. L’humanité tout entière est invitée.
Personne n’est oublié et chacun a sa place.
Il y a celles et ceux qui déclinent l’invitation.
Il y a aussi celles et ceux dont on pourrait s’étonner de la présence.
Peu importe. Pauvres de Dieu, nous sommes tous invités au festin.
À chacun de revêtir sans hésiter l’habit de noce et d’entrer dans la salle du banquet.

Nous pouvons nous asseoir

1 .Tu as voulu des enfants unis, qu’il en soit ainsi
Un jardin de paix pour Ta famille, qu’il en soit ainsi
Et nous voilà tous ensemble, Prêts à faire Ta volonté ;
S’il est vrai qu’on Te ressemble, Donne-nous Ta sainteté.

2. Tu as voulu des enfants heureux, qu’il en soit ainsi
Un amour sincère au fond des yeux, qu’il en soit ainsi
Nous ne sommes pas capables, Donne-nous de nous aimer ;
Que nos vies soient acceptables Selon Tes desseins parfaits.

Et nous serons enfin ce temple, ce palais où Tu demeures,
Où Ton cœur de Père nous comble de Sa grâce.
Et nous serons enfin l’épouse que Ton amour a choisie :
Le parfum de Ta vie … Qu’il en soit ainsi !

3. Tu as voulu Ton trône établi, qu’il en soit ainsi
Et ton règne sur tout le pays, qu’il en soit ainsi 
Nous irons dans Ta confiance, Enflammés de Ton Esprit ;
Proclamer dans Ta puissance Le salut de Jésus-Christ ! 

Oui Seigneur, qu’il en soit ainsi…
Tu nous bénis, tu nous nourris de ta présence.
Comme tous les vendredis, tu nous invites à la table des noces
et c’est avec plaisir que nous répondons à ton appel.
Nous venons te remercier pour toutes les grâces que tu nous as accordées.
Nous te confions les personnes qui nous ont demandée de prier pour elles.
Nous te confions tous ceux qui souffrent particulièrement les malades…
Nous te confions les familles qui traversent des épreuves
nous te confions notre paroisse,
nous te confions nos vies c’est par ta grâce Seigneur
que nous nous approchons de toi.

Tout mon être cherche, d’où viendra le secours,
Mon secours est en Dieu, qui a créé les cieux.
De toute détresse, il vient me libérer,
Lui le Dieu fidèle, de toute éternité. 

C’est par ta grâce, que je peux m’approcher de toi,
c’est par ta grâce, que je suis racheté.
Tu fais de moi une nouvelle création,
de la mort tu m’as sauvé par ta résurrection

Tu connais mes craintes, tu connais mes pensées.
Avant que je naisse, tu m´avais appelé.
Toujours tu pardonnes, d´un amour infini.
Ta miséricorde est un chemin de vie.

Oui Seigneur de la mort tu m’as sauvé par ta résurrection
Envoie ton Esprit Saint sur tous ceux qui ont besoin de Toi…

Combien immense est ton amour,
Tu nous couvres de ta grâce.
Toi, la lumière, toi, notre paix,
Notre espoir se trouve en toi.
Grande est ta miséricorde,
Ta vérité nous transcende.
Ta main puissante nous a conduits depuis si longtemps.

Précieux Saint-Esprit, souffle de Dieu, notre ami,
Viens remplir nos cœurs de la gloire du Père.
Précieux Saint-Esprit, oh, viens sanctifier nos vies.
Apprends-nous à marcher dans tes pas.

Oui Seigneur apprends-nous à marcher dans tes pas.
Tu es mon Berger et je ne manques de rien

Le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer.
Alléluia, Alléluia, Alléluia-a. Alléluia, Alléluia, Alléluia-a.

1. Il me donne la paix, il me fait revivre.
Lui seul est mon chemin de justice et de joie.

2. Si je suis dans la nuit, je n’ai rien à craindre.
Le Seigneur est présent, lumière sur mes pas.

3. Face à mes ennemis, il refait mes forces.
Sans fin, j’habiterai la maison du Seigneur.

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (22, 1-14)
« Tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce »
En ce temps-là, Jésus se mit de nouveau à parler aux grands prêtres et aux pharisiens, et il leur dit en paraboles : « Le royaume des Cieux est comparable à un roi qui célébra les noces de son fils. Il envoya ses serviteurs appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir. Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités : “Voilà : j’ai préparé mon banquet, mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés ; tout est prêt : venez à la noce.” Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent, l’un à son champ, l’autre à son commerce ; les autres empoignèrent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent. « Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville. Alors il dit à ses serviteurs : “Le repas de noce est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes. Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce.” Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives. « Le roi entra pour examiner les convives, et là il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce. Il lui dit : “Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce ?” L’autre garda le silence. Alors le roi dit aux serviteurs : “Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.” « Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. » Acclamons la Parole de Dieu !

-Méditation-

Comme souvent dans les paraboles de Jésus, la situation peut être excessive et peut causer un certain malaise.
Ce matin, essayons de comprendre ce que Dieu veut nous dire dans cette parabole où un roi, violent quelquefois, ouvre grand les portes de son royaume à beaucoup d’invités et prend des décisions dures à l’encontre de certains.
Situons la scène : Jésus compare le Royaume de Dieu à une fête, une noce. Dieu invite beaucoup de monde, mais certains invités sont trop occupés et refusent l’invitation. D’autres viennent, mais n’ont pas compris qui suivre Dieu, c’est changer de vie, ouvrir son cœur, aimer davantage.
Le roi qui marie son Fils, c’est Dieu, le fils c’est Jésus, les invités c’est l’humanité. Jésus épouse une fiancée qu’il aime passionnément : l’humanité. Dieu fait alliance avec nous par Jésus. Aussi pauvres que nous sommes, nous vivons une histoire d’amour avec Dieu. Personne n’est oublié à la table de Dieu, chacun y a sa place. Tous, nous sommes invités, mais souvent nous trouvons toutes sortes d’excuse pour ne pas répondre à l’invitation. Combien de fois entendons-nous : je ne peux pas venir à la messe le dimanche, vous imaginez, c’est le seul jour où je bricole, je fais du sport, je pique-nique en famille, je suis fatigué, j’ai des devoirs à faire, des examens à préparer, j’ai fait la fête le samedi soir… Nous mettons Dieu à la dernière place. Peu importe, Dieu, patient, continue de nous inviter à sa table.
Ecoutez ce que Dieu dit : « Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce.” Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives.
Voilà donc invités ceux qu’on n’attendait pas, les païens à qui les juifs (peuple choisi) ont cédé la place, nous aujourd’hui, les derniers appelés, qui avons dit oui à Dieu.
Dieu dans son amour infini continue d’appeler, d’inviter tout le monde, pêle-mêle, juifs, croyants, incroyants, bon, méchant, pauvre, riche, malade, exclu, prisonnier, prostitué… et leur prépare une place à tous.
Prenons garde de ne pas montrer du doigt les fidèles de l’église de Jésus Christ.
La fin de la parabole peut nous heurter, nous choquer. Le roi demande à un invité (qu’il appelle son ami) pourquoi il est différent des autres, il ne porte pas l’habit de noce et comment il est arrivé là. L’invité ne répond pas, il garde le silence et cela exaspère le roi qui dit à ses serviteurs de le “Jetez, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.” « Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. »
En fait, le roi veut comprendre qui est cet invité, d’où il vient, quelle est son histoire, le chemin parcouru. Et l’invité préfère se taire plutôt de confier sa vie au Dieu Sauveur. Et son silence lui coûte très cher.
Ce que Dieu nous fait comprendre à travers cet invité, c’est que son Royaume est ouvert à tous sans exception, mais pour y entrer et demeurer auprès de lui, on ne pet laisser de côté sa vie personnelle, son histoire, ses actes, ses paroles. Tout de nous intéresse Dieu (notre passé, notre présent, notre avenir).
Il nous introduit tout entier dans son Royaume (avec tout notre être).
Ne soyons pas comme cet invité. Revêtons-nous de Dieu, assumons notre histoire personnelle, nos erreurs, nos doutes, nos méchancetés, nos peurs, nos péchés.
Tournons-nous vers Dieu, reconnaissons-nous petits, humbles, pauvres, pécheurs, parlons-lui de notre vie, demandons-lui pardon.
Dieu, dans sa grande miséricorde, écoutera l’homme pécheur que nous sommes et l’accueillera dans son Royaume.
Le croyant est renvoyé à sa responsabilité, à sa vie, pour avoir part au Royaume ouvert à tous.
Voici un exemple concret qui nous permettra de comprendre ce qui vient d’être dit. Avant de communier, le prêtre dit : « Heureux les invités au repas du Seigneur ». Tout le monde dit oui sans oublier d’ajouter d’abord « Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serais guéri » ; toujours se reconnaître petit, faible, malade, pauvre devant le Seigneur qui nous aime et qui nous attend pour nous sauver.

Venez, adorons le Seigneur,
Venez et chantons notre joie, 
Pour le Dieu de notre salut.
(bis)

1. Avançons devant lui avec des chants de louanges, 
Faisons retentir pour lui l’acclamation,
Que jaillissent en nos cœurs des hymnes d’allégresse. (bis)

2. Venez, prosternons-nous humblement devant sa face,
A genoux devant le Dieu qui nous a faits,
Car c’est lui notre Dieu et nous sommes son peuple. (bis)

3. Ecoutez, aujourd’hui la voix de Dieu nous appelle,
Ne détournons pas nos cœurs de son amour,
Entrons dans son repos et goûtons sa présence. (bis)

Béni sois-tu, Seigneur, pour ta présence réelle et vraie dans le Très Saint
Sacrement… Ta présence Seigneur me remplit de joie...tu es là…
tu m’attends…tu m’aimes...tu nous attends Tous…
Seigneur merci d’être havre de paix, de force et de consolation
pour chacun....tu nous appelles de toute la terre pour être avec toi…
pour te louer... t’aimer… t’adorer... Béni sois-tu pour le lien
fraternel et spirituel, invisible mais si profond, 
qui unit tous les adorateurs les uns avec les autres…
tu nous précèdes et tu restes avec nous...bénis-nous… (silence)

Permets Seigneur, que nous soyons toujours plus nombreux
à t’adorer partout dans le monde. 
Aide-nous à venir souvent t’offrir nos vies.. nos cœurs...
nos joies .... nos peines....nos espérances....
nos activités et toutes nos familles, mais aussi nos frères malades,
nos villes, notre pays, notre diocèse et toute l’Eglise au creux du jour comme au cœur de la nuit.....entends nos prières.... (silence)

Remplis-nous Seigneur, d’amour, de charité, de paix et de miséricorde afin que nous demeurions en ta présence au quotidien de nos vies, 
que nous accomplissions, en toutes circonstances, ta sainte volonté......
que nous devenions des témoins selon ton cœur... 

Nous t’adorons, ô Père dans ton temple,
Nous t’adorons en Esprit et en vérité,
Tu habites nos louanges,
Nous t’adorons en Esprit et en vérité.

Car un jour près de toi, vaut mieux que mille ailleurs,
Je désire habiter dans ton temple.
Car un jour près de toi, vaut mieux que mille ailleurs,
Je désire habiter dans ta maison Seigneur

1- Ô Jésus que j’adore / Tu t’offres à contempler,
Humble et douce présence / Tu t’es fait pain et vin.
O o Jésus, Tu t’es fait pain et vin / Pour nos cœurs en errance.

2- Ô Jésus que j’adore / Tu t’offres à nos désirs,
Vers toi courent nos âmes / En silence et en paix.
O o Jésus, En silence et en paix / Pour l’humble face à face.

3- Ô Jésus que j’adore / Tu t’offres à notre amour,
Dans l’invisible espace / De ton cœur transpercé.
O o Jésus, De ton cœur transpercé / Où nos peines s’effacent.

4-Ô Jésus que j’adore / Tu t’offres à notre temps,
Au lieu de notre angoisse / Tu fermentes en nos vies.
O o Jésus, Tu fermentes en nos vies / Préparant le partage.

5- Ô Jésus que j’adore / Tu t’offres à nos douleurs,
Tu formes ton image / Tout au fond de nos cœurs,
O o Jésus, tout au fond de nos cœurs, / Tu es notre victoire.